« Until we meet again |ft. Samuel

La bataille entre Sam et son subconscient faisait rage. C'était un combat acharné et personne ne semblait capable de gagner ou de perdre. A chaque fois que le prime avait des idées un peu trop osé, sa conscience venait lui rappeler de ne pas prendre le mauvais chemin. Mais cinq minutes après, il recommençait avec ses pensées olé olé. Non, ce n'est pas possible, il doit résister. Jusque la il avait réussi mais pour combien de temps encore. Il eut fini sa douche et sortit pour passer dans le salon. Sauf que notre grand maladroit se prit le tapis ce qui le fit tomber sur le sol. Quel maladroit, quel idiot, quel crétin, il devait vraiment avoir l'air stupide maintenant. Oh et si RoxXie venait jouer l'infirmière, cette simple pensée pourrait le faire baver mais STOP. Surtout pas de RoxXie en tenue sexy d'infirmière. La tu rêve mon coco ! En plus, tu n'as pas ce genre de tenue chez toi donc on est sauvé ...Oo ? Non, tu n'a pas osé...ne me dit pas que tu as acheté ça l'autre jour dans le sex shop ou je t'avais défendu d'entrer ! Crétin, mais à quoi tu penses !!!

Avant qu'il n'ait pu faire quoi que ce soit, hormis se mettre en genoux en poussant sur ses bras, la demoiselle était descendu du canapé avec le même genre de sourire qu'il avait lui quand il pensait à elle sous la douche. Oups...finalement la tenue d'infirmière...STOP !!! Non de dioux ! Oublie ça de suite ou je viens te botter le cul. Mais voila que son amie passait ces bras autour de son cou ce qui le ramena sur terre. Et voila que ces lèvres si délicate venait au contact avec les siennes, un baiser rempli de passion. Il se laissa faire et répondit même à son baiser. A son tour, il posa ses mains sur le corps de RoxXie. D'abord sur ses hanches, puis il remonta le long de ses cotes frôlant légèrement sa poitrine. Elle se rapprocha et son contact était encore plus délicieux. Qu'est-ce qu'elle avait pu lui manquer...ce simple contact venait même d'effacer toute la colère qu'il avait pu avoir contre elle. Peut importe le passé, ce qui compte c'est l'instant présent et rien d'autre. Il l'a retrouvé alors que rien n'aurait pu prévoir qu'il la retrouve vu l'immensité du monde. A croire que finalement, le monde est petit. A présent à califourchon sur lui, il ne cessait de l'embrasser et de caresser son dos couvert encore par le t-shirt, son t-shirt qui à ce rythme la ne ferait vraiment pas long feu. Un regard et c'est repartit. Le Sam/RoxXie machine et de nouveau là. Elle murmura son nom et il se dit en lui même que c'était vraiment une mauvaise idée. Entre deux baisers il glissa "on devrait pas faire ça", mais c'était plus fort que lui, il continuait de l'embrasser avec toujours plus de passion, et passa ses mains sous le t-shirt pour toucher sa peau si douce. "C'est pas raisonnable". Les derniers morceaux de sa raison venait de disparaitre, elle ne pourrait plus rien pour lui à présent. Avec un petit sourire coquin, il releva doucement son t-shirt se trouvant sur le dos de RoxXie, c'est l'heure de faire le topless...

ROXXIE

« Until we meet again »
Samuel Philips & RoxXie R. Blacksmith

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Je soupirais intérieurement. Qu'il était beau. Qu'il était sexy. Qu'est ce que je faisais ici moi!? Mon dieu. J'allais mourir, j'allais pas réussir à dormir. L'imaginer à quelques pas de moi, entendre sa respiration. Sentir son odeur. Un peu comme ce T-Shirt. Bon dieu bon dieu bon dieu Dans quoi est ce que tu t'es encore fourrée Roxx! Ça craint. Oui là ça craint vraiment! Purée. Pourquoi est ce qu'il est aussi sexy. Qu'est ce que j'ai fait pour mériter une telle torture?
Malgré toutes ces remontrances intérieures, mes yeux eux … prenaient un malin plaisir à le détailler, à l'imaginer … nu. A me demander s'il est comme je me souviens. Je me mord la lèvre inférieure. Mauvaise idée mauvaise idée … mais c'est tellement tentant pourtant.

Mais voilà. Je me laissais porter par … par quoi? Les hormones? Non je ne suis pas enceinte. Je ne suis pas non plus en chaleur … quoi qu'au regard lubrique que je lui lance on pourrait s'y méprendre. Mais non, je me lève du canapé et … oh bah tiens voilà que mes lèvres trouvent les siennes. Comme c'est bizarre. Avec fièvre et passion je l'embrassais à pleine bouche sans réellement me gêner. Si ça ne lui plaisait pas il n'aurait qu'a m'arrêter! Je souris doucement avant de recommencer à l'embrasser, il répondait à mes baiser, signe que … ça ne lui déplaisait pas, non? Sinon il m'aurait arrêtée, non? Rapidement je me retrouvais à califourchon sur lui et je sentais ses mains sur mes hanches, puis remonter un peu plus au nord frôlant ma poitrine avec délicatesse pas envie. Doucement je pressais mon corps contre le sien pour rendre cette étreinte encore plus intime. Mes mains parcouraient doucement son dos alors que je murmurais son prénom. Puis … entre deux torrides baisers, il me disait que nous ne devrions pas. Que ce n'était pas raisonnable. Cela dit, ce qu'il disait n'était pas du tout en adéquation avec ses gestes … à savoir qu'il venait de retirer mon T-Shirt, enfin son T-Shirt. Enfin que je me retrouvais topless face à lui. Je me décollais de quelques centimètres de lui et le fixais de mes yeux de feu. « Qui a dit que … » je souris doucement et venais nicher ma tête au creux de sa nuque. « … j'étais raisonnable? » doucement je mordillais le lobe de son oreille tout en le forçant de ma main à l'allonger par terre. Dans la descente que nous entamions j'étais toujours au dessus de lui, mes genoux de part et d'autre de ses hanches. Mes longs cheveux ondulés caressaient la peau de son torse nu alors que ma bouche s'affairait à recouvrir la moindre parcelle de sa nuque.

Il faut croire que rien ne pouvait arrêter le duo Sam/RoxXie. Pourtant le jeune homme lui en voulait, elle était partie comme ça, sans rien dire, sans même prévenir, sans même donner de nouvelle. Ça fait des années qu'il ne l'a pas vu et malgré sa colère, il ne peut pas s’empêcher de la désirer autant qu'avant. Pourquoi cette fichu attirance physique entre eux est t'elle si forte ? Pourquoi faut t'il que ce soit l'une des seules femmes dont il ne peut pas se passer. D'ordinaire, il couche avec une femme puis l'oublie le lendemain, de simple coup d'un soir, ni plus, ni moins. Mais pas elle. Ce qui aurait du être l'histoire d'un soir, était devenu beaucoup plus compliqué. Une amie, une petite amie ? Arf, non, il ne sait vraiment pas comment la décrire. La seule chose dont il est sûr, c'est qu'elle est la seule femme qu'il désire autant. Dans ce monde, il n'y aucune autre "RoxXie" qui lui fait ce genre d'effet. Ce soir, en la faisant venir chez lui, il n'avait pas du tout eut l'intention de la mettre dans son lit, pas du tout. L'avoir si proche de lui l'avait fait dérailler.

Cette fois ci, c'est quand elle qui avait craquée. Il avait réussit à tenir et ne pas craquer. C'était d'ailleurs un exploit en soit qu'il ne lui ait pas sauté dessus. Une fois qu'elle était venue se positionner à califourchon sur lui, si près et à l'embrasser tout espoir de résistance était perdu. Oui, elle venait de briser l'infime barrière qu'il s'était tué à maintenir. Est-ce qu'elle savait à qu'elle point ses baisers avait un coté salvateur pour lui. Sa tristesse semblait s'envoler et la vie semblait revenir en lui. Sans même le savoir, la jeune femme avait été une raison de vivre pour lui. Sentir ses lèvres contre les siennes...c'était le plus doux des supplices. Son cerveau sembla réfléchir un instant et parvint à faire sortir quelques mots de ses lèvres comme quoi tout ceci n'était pas raisonnable, mais RoxXie lui confirma qu'elle n'était peut être pas raisonnable. Après tout, lui aussi n'est pas raisonnable. S'il l'aurait été, jamais, oh jamais il n'aurait invité son plus gros pêché à venir passer la nuit chez lui. Samuel ne pouvait que se perdre dans les baisers qu'elle lui donnait et ça elle savait très bien y faire. Chaque parcelle de peau de son cou lui semblait en feu après le passage de la bouche de la jeune femme. Si elle continue, il risque bien de finir en tas de cendre. Son corps entier bouillonnait d'un ardent désir et il n'était pas sûr de pouvoir attendre bien longtemps encore. "RoxXie" susurra t'il doucement, "Je te veux...tout de suite..." ajouta t'il en la caressant avec insistance. Ça fait cinq qu'il l'attend, cinq qu'il ne la voit plus, et la revoir aujourd'hui, être contre elle c'est insoutenable.

ROXXIE

« Until we meet again »
Samuel Philips & RoxXie R. Blacksmith

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Une passion très peu contenue m'étreignait. Je ne pouvais pas m'empêcher. Être là à ses côtés sans le toucher, le sentir, l'avoir près de moi, le plus près possible. C'était impossible. Et il devait bien s'en douter. Sinon pourquoi m'avoir invité chez lui. Moi. Je ne prétendais pas être importante pour lui. Pas plus qu'une autre. Je ne connaissais pas d'autres. Je ne voulais pas en connaître d'autres. Je n'étais pas prétentieuse. Je savais que je n'étais pas une parmi tant d'autres. Tout comme lui n'était pas un parmi tant d'autres. Je l'aimais. C'était dit, je ne pouvais pas le nier. L'attraction est indéniable. Lui. Je ne voulais que lui. Maintenant c'était tout autre chose que je ressentais pour lui. Parce qu'avant c'était surtout une attirance physique. Un désir charnel. Mais maintenant. Le revoir était si agréable. Si inattendu et si excitant. Je n'ai jamais pu l'oublier. Je ne pourrais jamais l'oublier. Je ne pourrais pas oublier celui à qui j'aurais pu donner mon cœur.

Je me plaçais bien rapidement sur ses genoux. Comme une évidence. Comme une vieille habitude. Comme une routine. Comme ça m'avait manqué. Mes lèvres rencontraient les siennes avec insistance et désir alors que mes mains parcouraient son dos musclé et dénudé. Nous n'étions pas raisonnables. Il ne fallait pas. Mais je ne pouvais pas faire autrement. J'avais gouté à nouveau à ses lèvres et à lui dans cette ruelles il y a quelques heures. Et je mourrais d'envie d'y gouter une nouvelle fois. Dans un souffle je lui dis que je n'étais pas une fille raisonnable. Non je n'étais pas non plus une fille que l'on présente à ses parents. Ou qui plait aux parents. Mais je n'étais pas avec des parents ici. Loin de là. Nos baisers se font de plus en plus enflammés et nos étreintes de plus en plus chaudes. Mes lèvres et ma langue parcourait avec fièvre la peau de son cou et de ses épaules et je jouais doucement avec mes dents dessus. Je me relevais un petit peu pour le regardais et m'assis sur son bas ventre doucement le regardant de haut. Ça m'avait manqué. Pas l'acte en lui même, mais … lui sa présence. Son odeur. Face à lui. A demi nue. Doucement je redescendis vers lui et mes lèvres trouvaient les siennes et ma langue avec insistance vint jouer avec la sienne. Alors que je m'attaquais à son torse sa phrase eut le don de me faire sourire. Je me relevais doucement et plantant mes yeux dans les siens. Puis un air joueur aux lèvres je me relevais et vint m'asseoir sur le bord du canapé.

Il me regardait. Il me connaissais, non? Doucement et d'une voix suave je lui dis. « Alors viens Samuel. » je souris largement en le poussant gentiment du pied. « Je t'attends. » doucement je fermais les yeux et me laissais aller en arrière attendant qu'il me rejoigne.

Ne pas être raisonnable, c'était tout à fait le genre de Sam surtout avec les filles et c'était également le cas de RoxXie. En y repensant c'est d'ailleurs bien le sens de la déraison qui les à poussé tout les deux l'un vers l'autre dans un lit pour la première fois. Après tout, qui déciderait d'accepter un repas avec la personne grossière qui dit que les préservatifs sont dans sa poche. RoxXie ne devait vraiment pas être très net non plus. Il faut croire qu'ils vont vraiment bien ensemble, trop bien même. Ce qui était au début une simple attirance physique c'est transformé en une relation plus sérieuse sans même qu'ils ne s'en aperçoivent. Cinq ans passé, cinq ans à ne pas la voir, cinq ans à s'inquiéter et la détester mais au final rien n'avait changé. L'attirance était toujours la même bien qu'encore plus forte après cinq année d'absence. La résistance de Sam face à RoxXie était toujours aussi faible, une fois que le contact physique était la, il était comme envouté. Impossible de résister, pas contre elle. Perdu dans ses bras, il avait comme l'impression de revivre. Qu'est-ce qu'il était bien là avec elle, même si ça ne devrait pas. Chaque caresse, chaque baiser était un supplice pour lui et il ne pouvait plus attendre. Pourquoi attendre, il avait bien assez attendu et il avait envie d'elle.

La jeune femme avait t'elle envie de jouer ? Elle se leva pour s'installer sur le canapé et l'attendre en l'appelant. Oh qu'est-ce que c'est tentant. Il la regarda sans bouger, il la dévorait juste des yeux. C'était peut être le moment de faire demi tour, et de ne pas faire une énorme bêtise. Mais non, il se leva et grimpa sur le canapé pour s'installer au dessus de sa belle. Ses mains parcoururent les courbes de la jeune femme tandis que sa bouche frôla doucement la sienne avant de l'embrasser sensuellement. Son corps se frottant au rythme du baiser contre sa peau. Le jeune homme glissa sa main de plus en plus bas jusqu'à être interrompu par le dernier bout de tissus qui résistait. Alors habilement, il vint glisser son autre main pour faire descendre le sous vêtement de la belle et le jeter vulgairement sur le sol en s'écriant "Bye bye Madame la culotte !". Puis il jeta un regard quelque peu pervers avant de revenir embrasser ses lèvres qu'il finit par abandonner pour déposer des baisers sur sa poitrine. Oh oui, elle lui avait terriblement manqué. Le temps passé aussi doucement qu'il lui semblait aller vite. C'est assez contraire c'est vrai, mais il avait c'est deux impression la. Quoi qu'il arrive, il avait toujours envie d'elle et de plus en plus d'ailleurs. Alors on dirait bien qu'il est heure de tester le canapé...

[sorry pour le post bidon, on peut faire l’ellipse ! Hey oui bande de petit pervers !]